Un air de Groove Addicts - Fire and Ice, dans les oreilles. Une rangaine qui me donne légèrement envie d'écrire. Je pense à Siren's Call de Epic Score. Je trouve cette musique vraiment... épique. Et This is our land (toujours de Epic Score), qui est vraiment très belle...
Princess.des.Anges
Ecrire pour exister, exister pour écrire
Jeudi 17 novembre 2011 à 21:40
Il y a bien longtemps que je n'ai pas écrit ici... parce que j'ai tendance à écrire ailleurs, sur du vrai papier, c'est bien le problème. C'est une sorte de démon interne qui me parle à chauqe seconde de ma vie "Ecris ! Ecris ! Ecris !" C'est une fièvre qui me prend à la pose du midi, alors parmi les dossiers et l'ordinateur, mon bazarre, on fait un peu de place et on se pose ou on peut. ça me prend le soir, comme une injonction. Et le pire, c'est quand ça me prend dans la journée... en plein décompte se sont des brides de dialogue et de narration qui s'invitent dans ma tête au milieu des chiffres et des formules excel. Et même sur le chemin entre l'aubette de bus et l'apprt' !
Un air de Groove Addicts - Fire and Ice, dans les oreilles. Une rangaine qui me donne légèrement envie d'écrire. Je pense à Siren's Call de Epic Score. Je trouve cette musique vraiment... épique. Et This is our land (toujours de Epic Score), qui est vraiment très belle...
Un air de Groove Addicts - Fire and Ice, dans les oreilles. Une rangaine qui me donne légèrement envie d'écrire. Je pense à Siren's Call de Epic Score. Je trouve cette musique vraiment... épique. Et This is our land (toujours de Epic Score), qui est vraiment très belle...
Vendredi 16 septembre 2011 à 18:06
"Though my body may decay in the island of Ezo, my spirit guards my Lord in the East."
<3
Vendredi 16 septembre 2011 à 18:01
Un jour, on finira bien par y aller, au Japon ;)
Dimanche 10 juillet 2011 à 15:46
Hier est derrière.
Demain est une mystère.
Mais aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle le présent.
Dimanche 10 juillet 2011 à 15:29
Never forget why.
Never forget all we have done.
Never forget all of the time we have passed.
Never forget all we were.
Never forget, I will always be here.
Never forget, because, I will always love you.
Mercredi 25 mai 2011 à 17:23
Les seules idées que je peux avoir à l'avance sont les chapitres que j'écris le plus mal.
En définitive, mon expression est bien meilleure quand je n'ai riren en tête, quand j'écris dans le vide, une écriture blanche.
Lundi 23 mai 2011 à 21:17
Bien sûr que la réponse à été négative ! Pourquoi aurait-il dû en être autrement ? Je le savais déjà, voilà pourquoi, cette fois, ça a fait moins mal. Mais je ne désespère pas. Tant pis pour eux. Je vais essayer un nouveau genre. A prendre avec des pincettes. Mais bon, on sais jamais.
Qui ne tente rien n'a rien.
Alors je vais finir ce projet et retenter ma chance ;)
Vendredi 22 octobre 2010 à 14:49
Le rêve pourrait se poursuivre. Il est cependant suspendu. Cinq mois d'attente. Le destin est suspendu. Qu'attend-t-il ? L'attente est loin d'être finie... chaque jour il faut recommencer. Attendre, attendre et espérer. Espérer que la réponse soit positive...
Attendre et espérer
Mardi 27 juillet 2010 à 14:30
Voici un petit article pour prévenir que je pars en vacances cette nuit. Direction Rome !! ROME ! Puis, la Toscane dans son ensemble, en logeant à Florence et à Sienne. Du bonheur, du rêve et du soleil en perspective ! Alors, bonne vacances à tous !
Viva Italia !
Mardi 27 juillet 2010 à 14:25
J'ai mon bac, mention assez bien.
ça se passe de tout commentaire, de ma part, parce que c'est tout simplement génial. On fait sauter les barrière une par une... je poursuis mon chemin avec un sourire tremblant. J'ai peur. Je suis excitée. Ce n'est que la vie qui continue son chemin, avec moi sur le dos.
Vendredi 18 juin 2010 à 17:24
La fin de l'année amenait avec elle un bien plus terrible monstre que la perspective de la fin du lycée. Le Baccalauréat. Cette épreuve terrifiante et rude est l'ennemi de l'avenir. Il rend malade, fait mal au coeur. Les épreuves en elles-mêmes, j'en ai strictement rien à faire. Je m'en fiche un peu pour dire, parce que tous ces trucs inutiles que l'Etat veux nous bourrer dans le crâne, et bien, dans un an on les aura oubliés, et puis, on en aura même pas besoin. Non, ce qui fait vraiment peur, c'est le résultat final : avoir le bac ou pas. ça en revanche ça fait un mal fou au coeur, un stresse tout en démesure. Les écoles supérieures ce n'est pas de la rigolade. Il suffit de ce loupé juste au bac parce qu'on est mortellement stressé et c'est toute la vie qui part en fumée. Bien sûr, on peut redoubler et recommencer, mais je l'aurais très amer, surtout après avoir autant bossé toute l'année. Donc j'espère vivement l'avoir, et si Dieu existe, qu'il m'entende... pitié, qu'il m'entende... Je ne demande pas la lune, juste avoir 10. Je ne m'en plaindrait même pas. Ou au pire, avoir 9 ou 8. Mais en-dessus, c'est le coup de grâce =S
Samedi 8 mai 2010 à 20:04
Tout s'achèvera demain et tout commence aujourd'hui
Samedi 8 mai 2010 à 19:51
"Enfant je rêvais d’étourdissantes aventures fourmillantes de danger mais je n'arrivais pas à trouver la porte d'entrée vers un monde parallèle ! J'ai fini par me convaincre qu'elle n'existait pas. J'ai grandi, vieilli, et je me suis contenté d'un monde classique... jusqu'au jour ou j'ai commencé à écrire des romans. Un parfum d'aventure s'est alors glissé dans ma vie. De drôles de couleurs, d'étonnantes créatures, des villes étranges...
J'avais trouvé la porte."
Pierre Bottero
Quand j'ai lu cet "aveu" de Pierre Boterro, je n'en ai pas cru mes yeux. Parce que, personnellement, c'est exactement ce que je pense. A quelques détails près. Je n'ai pas "vieilli" je suis encore un peu jeune, mais j'ai grandi ! Et cette porte qui s'échappe toujours, je sais que j'aurai beau la chercher, je ne la trouverai jamais. Je l'ai juste et simplement trouvée dans l'écriture, les mots étant la porte vers tout ce que je voulais atteindre. Certes, beaucoup choses en sont sorties, mais le principal élément, se sont bien les personnages.
Ce sont eux qui m'ont ouvert la porte. Puissent-ils ne jamais la refermer et me laisser leur parler avec autant de passion qu'aujourd'hui et pour toujours !
Et bien sûr, un grand hommage à Pierre Boterro qui a écrit des livres magnifiques et que ses fans ne sont pas prêt d'oublier ! Il y aura toujours quelqu'un pour se souvenir de lui. Notamment grâce à Ewilan =P
Ce sont eux qui m'ont ouvert la porte. Puissent-ils ne jamais la refermer et me laisser leur parler avec autant de passion qu'aujourd'hui et pour toujours !
Et bien sûr, un grand hommage à Pierre Boterro qui a écrit des livres magnifiques et que ses fans ne sont pas prêt d'oublier ! Il y aura toujours quelqu'un pour se souvenir de lui. Notamment grâce à Ewilan =P
J'ai trouvé ma porte de sortie : la Nouvelle-Zélande
Samedi 24 avril 2010 à 19:14
Words in a diary
Fade upon the pages
People gone forever
Shadows on a wall
Vendredi 9 avril 2010 à 18:06
Avec le soleil et cette douce chaleur qui revient, j'ai le sourire facile et la vie plus belle (oui, oui ! C'est bien moi qui dis ça! =p ). L'ultime bac blanc est derrière moi (même si ça ne m'a pas parru brillant), j'ai de la musique plein les oreilles, partout, tout le temps, des petits bonheurs faciles et puis même si je semble devoir échouer dans tout ce qui me tiens à coeur, j'ai réussi à trouver ma robe pour la fin de l'année, le part en Italie cet été et j'ai bien l'intention d'avoir mon bac en Juin !
Les autres ont le sourire plus facile aussi, et puis même si l'échéance approche trop vite, tout le monde semble être plus cool. Et c'est fou comme le sourire des autres, et les simple merci peuvent faire un bien immense. Sur un trottoire trop étroit, il y a quelque jour, j'ai laissé passer deux dames âgées. Elles m'ont sourit et dit merci, j'ai presque eu envie de courir partout et de crier à quel point j'étais heureuse. ça peut paraitre stupide, mais cette gentillesse inée est désormais une qualité aussi noble que rare, alors le fait de simplement entendre les autre vous dire merci, et en souriant en plus, alors que vous ne les connaissez même pas, moi, ça me fait vraiment plaisir.
Pas comme Sonya... grrr... celle-là je l'étranglerait bien pour son manque de politesse. Elle m'exarcèrbe. Heureusement, elle n'était pas dans ma classe l'année dernière et elle ne le sera pas l'année prochaine. ouf ! (Je crois qu'avant la fin de l'année, je vais craqué et finir par lui faire apprendre les "merci" et les "s'il te plait")
Donc voilà ! Il fait beau, il fait bon, j'ai ma robe de fin d'année, il ne reste même pas deux mois de cours, je suis en vacances, je les vois dans quelques jours, alors tout va pour le mieux, je suis heureuse, et je prends la vie du bon côté pour une fois ! ^^
Vendredi 9 avril 2010 à 15:14
Extrait 5
Entre souvenirs et éternité Chapitre 32 - Eternité
"Je souris faiblement et senti mes larmes couler. Mais ce qui gouttait dans mon cou et glissait doucement, pour la première fois depuis ces sombres mois, ce n'était pas du sang. C'était des larmes. Ses larmes. Je pleurais avec lui."
Avoir l'éternité, aimer, souffrir, pleurer, mourir, s'offrir, dire adieu, au revoir, oublier, et puis surtout, se souvenir...
Lundi 1er février 2010 à 21:13
La douleur avait tout ravagé, tout détruit. Sans prévenir. Elle était venue, elle avait tout emporté. Il ne restait plus rien. Plus rien que je puisse retenir. Rien à pleurer. Il n'y avait plus rien.
La fenêtre ouverte. Un courant d'air. Froid. Non. Glacial. L'hiver.
Etait-ce réellement la fenêtre ? Je n'en suis plus si sûre. Le velux était fermé. N'était-ce pas... simplement ce qu'il me restait de moi-même ? Peut être bien. C'est ce qui m'a animé en tout cas. Ou engourdie. J'avais mal partout, mal nul part. Le coeur vide. L'âme trop blessée pour supporter la réalité avait fuit, je ne sais trop ou. Il y avait encore ma conscience. Conscience qui, elle, ne voulait pas l'admettre. La raison me criait que j'était une sotte. Une idiote. Une imbécile. Imbécile d'y avoir cru, ne serait-ce qu'en envoyant cette lettre.
Quelque part, ça criait. Non, pas "ça". Mon âme. Ma pauvre petite âme déjà à peine capable de supporter la réalité et qui veut se briser pour un rien. Elle criait. Non. Elle hurlait. ça faisait mal. A elle, a moi. Nous avions mal. Trop mal cependant pour exprimer au autre cette douleur qui nous consumait. Tomber à genoux, hurler, hurler que ça faisait mal. Mais rien. Rien. Parce qu'il n'y avait plus rien. Juste ma volonté. Ma volonté qui n'était pas suffisante pour me porter vers la lumière.
Et puis, le vide, ce froid. Mon âme a gelé dans son cri d'effroi et de souffrance. Elle ne souffre plus maintenant. Plus vraiment. Je l'ai mise à l'abri. Mais... les jours passent. Et plus les jours passent plus l'espoir nouveau grandit. Il grandit encore et encore, sans cesse, tel un enfant que l'on élève et que l'on voit s'épanouir. Cette espoir, jour après jours, fait fondre la glace qui retient mon âme prisonnière. Et quand la glace aura totalement fondu, se sera pour crier de nouveau, j'en suis sûre. Elle devra crier de nouveau à quel point ça fait mal. A quel point nous avons mal. Le gouffre noir s'ouvrira et nous engloutira. Mais à ce moment là... je ne suis pas sûre que la volonté sera assez forte pour nous sortir de là toute les deux. Trop de blessures. Trop de souffrance. Il n'y aura plus rien à sauver.
Mais aujourd'hui, malgré tout, j'y crois fermement et de plus en plus. je redoute la boîte au lettres comme jamais. Peur de ce que je pourrai y trouver par mégarde. Une enveloppe plus grosse que la normale... une lettre trop polie et trop hypocrite, pas assez courage pour admettre qu'elle s'en fout, trop lâche pour s'en préoccuper... et ça fait peur. ça fait peur autant que ça fait mal, autant que j'espère.
Sayonara
La fenêtre ouverte. Un courant d'air. Froid. Non. Glacial. L'hiver.
Etait-ce réellement la fenêtre ? Je n'en suis plus si sûre. Le velux était fermé. N'était-ce pas... simplement ce qu'il me restait de moi-même ? Peut être bien. C'est ce qui m'a animé en tout cas. Ou engourdie. J'avais mal partout, mal nul part. Le coeur vide. L'âme trop blessée pour supporter la réalité avait fuit, je ne sais trop ou. Il y avait encore ma conscience. Conscience qui, elle, ne voulait pas l'admettre. La raison me criait que j'était une sotte. Une idiote. Une imbécile. Imbécile d'y avoir cru, ne serait-ce qu'en envoyant cette lettre.
Quelque part, ça criait. Non, pas "ça". Mon âme. Ma pauvre petite âme déjà à peine capable de supporter la réalité et qui veut se briser pour un rien. Elle criait. Non. Elle hurlait. ça faisait mal. A elle, a moi. Nous avions mal. Trop mal cependant pour exprimer au autre cette douleur qui nous consumait. Tomber à genoux, hurler, hurler que ça faisait mal. Mais rien. Rien. Parce qu'il n'y avait plus rien. Juste ma volonté. Ma volonté qui n'était pas suffisante pour me porter vers la lumière.
Et puis, le vide, ce froid. Mon âme a gelé dans son cri d'effroi et de souffrance. Elle ne souffre plus maintenant. Plus vraiment. Je l'ai mise à l'abri. Mais... les jours passent. Et plus les jours passent plus l'espoir nouveau grandit. Il grandit encore et encore, sans cesse, tel un enfant que l'on élève et que l'on voit s'épanouir. Cette espoir, jour après jours, fait fondre la glace qui retient mon âme prisonnière. Et quand la glace aura totalement fondu, se sera pour crier de nouveau, j'en suis sûre. Elle devra crier de nouveau à quel point ça fait mal. A quel point nous avons mal. Le gouffre noir s'ouvrira et nous engloutira. Mais à ce moment là... je ne suis pas sûre que la volonté sera assez forte pour nous sortir de là toute les deux. Trop de blessures. Trop de souffrance. Il n'y aura plus rien à sauver.
Mais aujourd'hui, malgré tout, j'y crois fermement et de plus en plus. je redoute la boîte au lettres comme jamais. Peur de ce que je pourrai y trouver par mégarde. Une enveloppe plus grosse que la normale... une lettre trop polie et trop hypocrite, pas assez courage pour admettre qu'elle s'en fout, trop lâche pour s'en préoccuper... et ça fait peur. ça fait peur autant que ça fait mal, autant que j'espère.
Sayonara
Dimanche 31 janvier 2010 à 21:01
Utawarerumono => "Celui que l'on chante" en japonais
Un magnifique anime qui est, je le trouve, vraiment très triste, mais dont la fin est sublime. Malgré la tristesse qu'elle m'a apportée, elle est digne de ce nom et je ne voudrai certainement pas qu'on la change ^^. Même si ce manga n'est pas mon préféré, il a su se terminer de façon très noble, et c'est ce genre de fin que j'affectionne particulièrement. Avec des personnages vraiment attachant et particuliers mais parfois tellement drôles ! Erurru, Arurru, Mukkur (et oui, il compte quand même lui aussi ^^), Hakuoro, Oboro, Yuzuha, Dori, Guraa, Benawi, Kudo, Kamyu, Karura, Touka, Uritori
PS : A l'inverse, celle de Ga rei zero était tout à fait pourrie malgré une histoire bien menée (cette fin m'a mise en rogne, à juste titre, c'est une fin vraiment trop naze).
Samedi 30 janvier 2010 à 15:10
Les gens disparaissent si vite ; ils s'effacent, ils disparaissent, tels des fantômes dans nos souvenirs. Car tout ce qu'il nous reste d'eux, ce sont nos souvenirs. Quand une âme s'éteint, on se demande alors la dernière fois qu'on les a vu. Quand était-ce ? Parfois cela remonte à si loin qu'on ne s'en souviens pas. Mais parfois on s'en souviens. ON s'en souviens si bien... A ce moment là, on ne se doutait pas que c'était la dernière fois. Il y a tant de choses qu'on n'a pas dites, des mots que l'on peut toujours prononcer aujourd'hui mais qui n'ont plus aucun sens car ils se perdront dans le silence du vent. Parce que ces mots sont à sens uniques. Le coeur se déchire, il s'ouvre, saigne. Mais il n'y a aucune hémoragie à stopper. Cela mettra autant de temps à guérir que le temps que nous mettrons à faire notre deuil. D'ailleur, on ne le fait jamais vraiment. De toute façon, qu'importe, à chaque disparu, le coeur s'ouvre en grand mais ne se referme jamais totalement. Alors plus on vit plus le coeur saigne et s'ouvre, mais nous n'y pouvons rien. On traîne sa peine toute sa vie, son deuil, et sa propre mort avec lui.
A Damien
A Ivan
A ma mamie
A mes arrières grands-parents
A Marguerite
et a tous les autres
A Ivan
A ma mamie
A mes arrières grands-parents
A Marguerite
et a tous les autres
Dimanche 6 décembre 2009 à 17:29
C'est fini ! Mon petit chéri va tenter sa chance et part pour Paris avnt la fin de la semaine ! Alors je croise les doigts pour lui et merci à tous ceux qui m'ont soutenu dans ce projet colossal. Il ne reste plus qu'a espérer un avis favorable de la part de ce monde de requin et ma vie changera pour toujours et radicalement. Du moins pour ce qui est de mon estime de moi. Parce que si ça marche, alors ça veut dire que je suis capable de faire quelque chose de bien. Et j'aurai enfin réalisé mon rêve :
Faire en sorte que ces images que j'ai dans la tête ne soient pas seulement réelles que pour moi. Je veux partager cette aventure avec tous ceux qui le souhaite.
Alors je dit de nouveau merci à tous ceux qui m'ont aidés et soutenus et c'est maintenant ou jamais que mon avenir se joue alors je vais espéré très fort que se soit un avis favorable.
Faire en sorte que ces images que j'ai dans la tête ne soient pas seulement réelles que pour moi. Je veux partager cette aventure avec tous ceux qui le souhaite.
Alors je dit de nouveau merci à tous ceux qui m'ont aidés et soutenus et c'est maintenant ou jamais que mon avenir se joue alors je vais espéré très fort que se soit un avis favorable.