Un air de Groove Addicts - Fire and Ice, dans les oreilles. Une rangaine qui me donne légèrement envie d'écrire. Je pense à Siren's Call de Epic Score. Je trouve cette musique vraiment... épique. Et This is our land (toujours de Epic Score), qui est vraiment très belle...
Princess.des.Anges
Ecrire pour exister, exister pour écrire
Jeudi 17 novembre 2011 à 21:40
Un air de Groove Addicts - Fire and Ice, dans les oreilles. Une rangaine qui me donne légèrement envie d'écrire. Je pense à Siren's Call de Epic Score. Je trouve cette musique vraiment... épique. Et This is our land (toujours de Epic Score), qui est vraiment très belle...
Vendredi 16 septembre 2011 à 18:01
Un jour, on finira bien par y aller, au Japon ;)
Dimanche 10 juillet 2011 à 15:29
Never forget why.
Never forget all we have done.
Never forget all of the time we have passed.
Never forget all we were.
Never forget, I will always be here.
Never forget, because, I will always love you.
Mercredi 25 mai 2011 à 17:23
Les seules idées que je peux avoir à l'avance sont les chapitres que j'écris le plus mal.
En définitive, mon expression est bien meilleure quand je n'ai riren en tête, quand j'écris dans le vide, une écriture blanche.
Lundi 23 mai 2011 à 21:17
Bien sûr que la réponse à été négative ! Pourquoi aurait-il dû en être autrement ? Je le savais déjà, voilà pourquoi, cette fois, ça a fait moins mal. Mais je ne désespère pas. Tant pis pour eux. Je vais essayer un nouveau genre. A prendre avec des pincettes. Mais bon, on sais jamais.
Qui ne tente rien n'a rien.
Alors je vais finir ce projet et retenter ma chance ;)
Vendredi 22 octobre 2010 à 14:49
Le rêve pourrait se poursuivre. Il est cependant suspendu. Cinq mois d'attente. Le destin est suspendu. Qu'attend-t-il ? L'attente est loin d'être finie... chaque jour il faut recommencer. Attendre, attendre et espérer. Espérer que la réponse soit positive...
Attendre et espérer
Mardi 27 juillet 2010 à 14:30
Viva Italia !
Mardi 27 juillet 2010 à 14:25
ça se passe de tout commentaire, de ma part, parce que c'est tout simplement génial. On fait sauter les barrière une par une... je poursuis mon chemin avec un sourire tremblant. J'ai peur. Je suis excitée. Ce n'est que la vie qui continue son chemin, avec moi sur le dos.
Vendredi 18 juin 2010 à 17:24
Samedi 8 mai 2010 à 19:51
"Enfant je rêvais d’étourdissantes aventures fourmillantes de danger mais je n'arrivais pas à trouver la porte d'entrée vers un monde parallèle ! J'ai fini par me convaincre qu'elle n'existait pas. J'ai grandi, vieilli, et je me suis contenté d'un monde classique... jusqu'au jour ou j'ai commencé à écrire des romans. Un parfum d'aventure s'est alors glissé dans ma vie. De drôles de couleurs, d'étonnantes créatures, des villes étranges...
J'avais trouvé la porte."
Ce sont eux qui m'ont ouvert la porte. Puissent-ils ne jamais la refermer et me laisser leur parler avec autant de passion qu'aujourd'hui et pour toujours !
Et bien sûr, un grand hommage à Pierre Boterro qui a écrit des livres magnifiques et que ses fans ne sont pas prêt d'oublier ! Il y aura toujours quelqu'un pour se souvenir de lui. Notamment grâce à Ewilan =P
J'ai trouvé ma porte de sortie : la Nouvelle-Zélande
Vendredi 9 avril 2010 à 18:06
Avec le soleil et cette douce chaleur qui revient, j'ai le sourire facile et la vie plus belle (oui, oui ! C'est bien moi qui dis ça! =p ). L'ultime bac blanc est derrière moi (même si ça ne m'a pas parru brillant), j'ai de la musique plein les oreilles, partout, tout le temps, des petits bonheurs faciles et puis même si je semble devoir échouer dans tout ce qui me tiens à coeur, j'ai réussi à trouver ma robe pour la fin de l'année, le part en Italie cet été et j'ai bien l'intention d'avoir mon bac en Juin !
Les autres ont le sourire plus facile aussi, et puis même si l'échéance approche trop vite, tout le monde semble être plus cool. Et c'est fou comme le sourire des autres, et les simple merci peuvent faire un bien immense. Sur un trottoire trop étroit, il y a quelque jour, j'ai laissé passer deux dames âgées. Elles m'ont sourit et dit merci, j'ai presque eu envie de courir partout et de crier à quel point j'étais heureuse. ça peut paraitre stupide, mais cette gentillesse inée est désormais une qualité aussi noble que rare, alors le fait de simplement entendre les autre vous dire merci, et en souriant en plus, alors que vous ne les connaissez même pas, moi, ça me fait vraiment plaisir.
Pas comme Sonya... grrr... celle-là je l'étranglerait bien pour son manque de politesse. Elle m'exarcèrbe. Heureusement, elle n'était pas dans ma classe l'année dernière et elle ne le sera pas l'année prochaine. ouf ! (Je crois qu'avant la fin de l'année, je vais craqué et finir par lui faire apprendre les "merci" et les "s'il te plait")
Donc voilà ! Il fait beau, il fait bon, j'ai ma robe de fin d'année, il ne reste même pas deux mois de cours, je suis en vacances, je les vois dans quelques jours, alors tout va pour le mieux, je suis heureuse, et je prends la vie du bon côté pour une fois ! ^^
Lundi 1er février 2010 à 21:13
La fenêtre ouverte. Un courant d'air. Froid. Non. Glacial. L'hiver.
Etait-ce réellement la fenêtre ? Je n'en suis plus si sûre. Le velux était fermé. N'était-ce pas... simplement ce qu'il me restait de moi-même ? Peut être bien. C'est ce qui m'a animé en tout cas. Ou engourdie. J'avais mal partout, mal nul part. Le coeur vide. L'âme trop blessée pour supporter la réalité avait fuit, je ne sais trop ou. Il y avait encore ma conscience. Conscience qui, elle, ne voulait pas l'admettre. La raison me criait que j'était une sotte. Une idiote. Une imbécile. Imbécile d'y avoir cru, ne serait-ce qu'en envoyant cette lettre.
Quelque part, ça criait. Non, pas "ça". Mon âme. Ma pauvre petite âme déjà à peine capable de supporter la réalité et qui veut se briser pour un rien. Elle criait. Non. Elle hurlait. ça faisait mal. A elle, a moi. Nous avions mal. Trop mal cependant pour exprimer au autre cette douleur qui nous consumait. Tomber à genoux, hurler, hurler que ça faisait mal. Mais rien. Rien. Parce qu'il n'y avait plus rien. Juste ma volonté. Ma volonté qui n'était pas suffisante pour me porter vers la lumière.
Et puis, le vide, ce froid. Mon âme a gelé dans son cri d'effroi et de souffrance. Elle ne souffre plus maintenant. Plus vraiment. Je l'ai mise à l'abri. Mais... les jours passent. Et plus les jours passent plus l'espoir nouveau grandit. Il grandit encore et encore, sans cesse, tel un enfant que l'on élève et que l'on voit s'épanouir. Cette espoir, jour après jours, fait fondre la glace qui retient mon âme prisonnière. Et quand la glace aura totalement fondu, se sera pour crier de nouveau, j'en suis sûre. Elle devra crier de nouveau à quel point ça fait mal. A quel point nous avons mal. Le gouffre noir s'ouvrira et nous engloutira. Mais à ce moment là... je ne suis pas sûre que la volonté sera assez forte pour nous sortir de là toute les deux. Trop de blessures. Trop de souffrance. Il n'y aura plus rien à sauver.
Mais aujourd'hui, malgré tout, j'y crois fermement et de plus en plus. je redoute la boîte au lettres comme jamais. Peur de ce que je pourrai y trouver par mégarde. Une enveloppe plus grosse que la normale... une lettre trop polie et trop hypocrite, pas assez courage pour admettre qu'elle s'en fout, trop lâche pour s'en préoccuper... et ça fait peur. ça fait peur autant que ça fait mal, autant que j'espère.
Sayonara
Dimanche 6 décembre 2009 à 17:29
Faire en sorte que ces images que j'ai dans la tête ne soient pas seulement réelles que pour moi. Je veux partager cette aventure avec tous ceux qui le souhaite.
Alors je dit de nouveau merci à tous ceux qui m'ont aidés et soutenus et c'est maintenant ou jamais que mon avenir se joue alors je vais espéré très fort que se soit un avis favorable.
Lundi 23 novembre 2009 à 10:49
J'ai tout essayé. Tout essayé pour la laisser partir. Mais elle revient. Elle revient toujours, parce qu'au fond je sais que je ne veux pas qu'elle parte. Je lui ai mit des chaînes. Dans ma tête, elle ne peut plus s'échapper. Comme si je ne lui avait pas fait assez de mal auparavant !
Elle ne me demande pas grand chose, elle ne me demandait pas grand chose... Juste la vie. C'est si compliqué à accorder ? Non. C'était dans mes moyens. Mais je l'ai trahie, je l'ai tuée. Pourquoi faut-il que je sente ainsi les choses ? Pourquoi, lorsqu'elle et moi nous nous sommes rencontrée pour la première fois, pourquoi a-t-il fallut que je préssente qu'elle allait mourir ?! Nom de Dieu ! Si cela n'avait pas été le cas, je suis sûre qu'elle vivrait encore ! Elle serait encore là et je n'aurais pas mal comme j'ai mal en ce moment !
Vous voyez, je vous l'avait dit ! Je vous l'avais dit que je n'étais pas prète ! Je ne peux pas tourner la page, c'est trop dur. Elle est moi c'était... c'était... fusionnel disons. Le jour ou elle est parti, c'est mon coeur qu'elle à enmener. Alors depuis j'ai mal. Je n'arrive pas à la laisser m'échapper. Elle revient toujours. On a tant de choses à faire ensemble ! Il y a tellement de mots qu'elle n'a pas dit, de choses qu'elle n'a pas faites !
Je lui ai tout prit, comme la pire des traîtresses et des démons. Je lui ai prit ses rêves, sa famille, la suivante et encore celle d'après, je lui ai prit sa vie, je lui ai donné des cauchemars, des peurs, le désespoir, des douleurs, je lui ai donné la mort.
Alors après tout ça, maintenant, je n'arrive plus à la laisser partir. je me sens trop coupable. Cela ne changera rien, bien sûr, elle ne reviendra pas pour autant mais... mes remords me rongent sans arrêt et il fallait que je les jete quelque part.
Elle me manque.
Elle et moi, ce n'était une seule personne.
Mardi 10 novembre 2009 à 20:01
Mon petit démon préféré va poursuivre son chemin... et toute seule cette fois ! Se sera du concentré pur de Clélia à 300% !Accrochez-vous bien, ça va décoiffer !
Oui, je le sens bien comme ça.
C'est mon nouveau projet.
Un projet qui va s'appeller "Le journal de la Nuit".
Oui, je sais Justine ! Ecrire un journal, c'est difficile ! Surtout s'il s'agit de ce petit diable de Clélia qui en à vu plus que tu ne pourrais en voir en quatre vie, mais je veux relever le défi. Je pense pouvoir le faire. De toute façon, je veux le faire et je le ferais. J'aurai juste un peu de travil supplémentaire =)
Il y aura du "avant", un peu de "pendant" je pense parce qu'il y a un passage avec Proteus qui doit être éclaircit ;p, et puis peut être un peu de "après". Qui sais ? Je verrai le moment venu !
Eh , saucisson Thaïlandais ! T'as vu ? Ce n'est pas fini, l'aventure continue ! Et c'est reparti pour un tour !
Mercredi 28 octobre 2009 à 18:26
Je ne savais pas que ça se passerait comme ça, on ne m'avait rien dit, ni prévenue. Est-ce que ça arrive à tout ceux qui sont comme moi ? Est-ce que, le moment des adieux venu, c'est normal que mon coeur palpite à se point à m'en faire vraiment mal ? Et ces mots que je ne veux ni prononcer ni écrire, pourquoi faut-il qu'ils soient si sinistre et si durs, si blessants, meurtriers ? Mon coeur ne le supportera pas.
Je voudrais croire que le temps des adieux n'est pas encore venu. Mais se serait nier l'évidence. Ce qui veux dire qu'il faut que je passe par là, que je souffre. je ne sais pas si je vais le surmonter un jour. Je voudrais vraiment être courage pour ça mais le coeur n'y est pas, et faire quelque chose sans y mettre du coeur, c'est ne rien faire. Alors je pourrais prier le petit Jésus... Nan, je plaisante ! Là se serait royalement me foutre de la gueule du monde après avoir écrit ce que j'ai écrit et pour penser ce que je pense. Je n'ai plus qu'à espérer que mon coeur supporte le choc... A moins que quelqu'un est une solution miracle, ce dont je doute fort...
Les faiblesses du genre humain font la noblesse des diablotins, autant que le courage des hommes fait l'honneur de ceux qui les entourent.
Samedi 3 octobre 2009 à 19:15
Non, ce n'est pas possible. Je refuse. Non. Je n'en suis pas capable. Je ne peux pas. Pas après tout ce que nous avons traversé, eux et moi.
Je me souviens encore, il pouvait m'arriver n'importe quoi, ils étaient là pour me soutenir, j'étais là pour eux. Même en Avril 2008, alors que j'ai été opérée des dents de sagesse. Encore des traces de l'anestésie générale, un esprit encore flou, une aiguille plantée (comme par hasard) dans l'intérieur de mon coude gauche, m'empêchant d'écrire (enfin, normalement). Oh ! Rien de cela ne m'a arrêté ! J'ai profité de cet instant de calme et de soleil, de liberté, loin des contraintes extérieures et lourdes des hommes. Et dans cet instant, même mon esprit embrumé, même l'aiguille dans mon bras, ne m'ont pas empêché d'écrire, de les aider. La fille à côté de moi n'arrêtait pas de vomir du sang. J'avais pitié d'elle, alors ma pitié pour eux s'est accrue. Je suis comme ça avec eux. Dès que je vois quelque chose, qu'il m'arrive quelque chose, ça leur tombe dessus et c'est tout pour leur pomme. Ils sont le reflet de ma vie, en fin de compte. Ils sont moi, je suis eux, nous ne sommes qu'un. Ils ne se plaignent pas, malgré le mal qu'ils endurent par ma faute. Parfois ils se sentent perdus, parfois totalement désespéré (à cause de moi), mais je ne les laisse jamais tomber. Je ne les laisserai jamais tomber. Non.
C'est pour ça que je ne peux pas, non, j'en suis incapable... leur dire au revoir, me faire à l'idée que je ne les reverrai plus, qu'ils ne m'empêcheront plus de dormir,... Ils occupaient toujours toute ma vie, tout le temps... Sursaut brutal de l'esprit, le crayon qui s'agite brutalement, le papier blanc qui se couvre d'une écriture lisible mais d'où parfois il manque des mots à cause de ma précipitation... c'est ça l'imagination.
Donc je refuse. Je refuse de leur dire adieu. Jamais. Ils sont une part de moi. Si j'écris trois lettres, former un mot, s'en est fini d'eux, s'en est fini de moi. Une part de mon être aura disparu, sera morte pour toujours...
Samedi 19 septembre 2009 à 20:33
Battement de coeur. Il se serre, se comprime. Il se dilate, s'agrandi. J'ai mal. Mal au coeur, il me fait mal. C'est stupide. Tellement stupide ! C'est ce que je pense. Mais en même temps j'en ai rien à faire, rien à faire non plus de ce que les gens pourrons penser de ça. Mais mon corps frissonne et mon coeur s'emballe quand je pense à lundi prochain. C'est si bête, tellement bête. Lundi on reprend les cours, la troisième semaine. En plus je commence avec une heure de maths, donc, avec une prof comme la mienne, math = stress. Nan mais c'est pas ça. Ce que je ressent est toujours plus grand que le stress des maths et ne cesse de grandir, s'accroitre. La lumière au bout du tunnel se rapproche, elle approche, se rapproche...
6 mois
Oui, cela fait 6 mois (non, plus même XX) que je ne l'ai pas vu, que je n'ai pas pu le toucher. Ne vous méprennez pas ! Il n'est pas question d'un garçon (XD) ! Nan, lundi, vers 10h30, je vais le retrouver après 6 longs mois de séparation. Lui ? C'est qui ? La personne la plus importante de ma vie (^^). Enfin... la chose le plus importante de ma vie pour le moment. Parce que lundi, quand je l'aurais de nouveau entre les mains et que j'aurai l'impression de vivre pour la première fois, je verrai aussi l'avenir se dérouler d'un seul coup à mes pieds. Le chemin que je voulais prendre va enfin s'ouvrir. Je vais m'y engager aussitôt. Il se peux que je trébuche, que je tombe même. mais je veux tout faire pour aller le plus loin possible. Je sais que cette voie est plus dur que tout, plus dur que n'importe quoi, mais je veux me donner à fond pour ça parce que c'est mon rêve depuis que je suis gamine. Alors il se peut que je revienne sur mes pas parce que cette voie m'aura regettée, mais en attendant je vais tout faire pour réussir, je le doit bien à tous ceux qui m'on soutenue et qui me soutiennent toujours !
Lundi, je vais récupéré, enfin, ce "vieux" manuscrit énorme et enfin me remettre à vivre. ENFIN !!!! Je sais que l'édition est un monde de requin mais je suis dure comme du cristal à force de me heurter à leurs épines empoisonnées. Je vais y arriver. Je dois y arriver.
Vendredi 18 septembre 2009 à 20:28
Voilà, je voulais dire merci à tout ceux qui prennent le temps de passer voir mon blog, même s'ils ne laissent pas de com. Et pour ceux qui en laissent je voulais vous dire à quel point ils me touchent et me font très plaisir. J'ai l'impression d'exister au moins pour quelque personnes et de leur faire plaisir, du moins je l'espère. Alors merci, encore merci.