Princess.des.Anges
Ecrire pour exister, exister pour écrire
Vendredi 25 septembre 2009 à 17:12
Là, il faut dire que ça avait dépassé toute les bornes. Franchement. Je suis plutôt tolérante et Justine aussi s'acclimate plutôt bien sans se plaindre (^^). Mais là... cette année, ils ont décroché le ponpon. Non seulement on doit supporter de passer les derniers du lycée (c'est à dire pas avant 13h00 - 13h10 parfois même pas avant 13h20), nous les Terminales, en plus, quand on arrive, on doit se prendre de la bouffe bien dégeulasse. Et là encore, je suis tolérante. Parce que bon, il y a pire et puis on est tous dans le même panier à ce niveau là au moins. Mais franchement, manger sans fourchette un plat de nouilles... ça relève du miracle !
Comment Justine à fait ? Et bien elle à commençé à manger avec l'unique couteau qu'elle avait (^^) ! Moi, j'avais pris un sandwish parce que franchement, je voulais pas manger des pattes huileuses avec un couteau ! Alors Justine ne mangeait pas vite et il faut dire que manger au couteau seulement ça n'avait rien de très glorieux ! Heureusement qu'on n'étaient pas les seules à ne pas avoir de couverts !!! Du coup, je lui ai passé mon couteau. Alors, comme elle le dit...
Elle s'est retrouvée à manger des pattes avec des baguettes chinoises qui n'étaient autres que deux couteau parfaitement ordinaires !
Lundi mémorable... Et dire que c'est ça toute les semaines...
Samedi 19 septembre 2009 à 20:33
Battement de coeur. Il se serre, se comprime. Il se dilate, s'agrandi. J'ai mal. Mal au coeur, il me fait mal. C'est stupide. Tellement stupide ! C'est ce que je pense. Mais en même temps j'en ai rien à faire, rien à faire non plus de ce que les gens pourrons penser de ça. Mais mon corps frissonne et mon coeur s'emballe quand je pense à lundi prochain. C'est si bête, tellement bête. Lundi on reprend les cours, la troisième semaine. En plus je commence avec une heure de maths, donc, avec une prof comme la mienne, math = stress. Nan mais c'est pas ça. Ce que je ressent est toujours plus grand que le stress des maths et ne cesse de grandir, s'accroitre. La lumière au bout du tunnel se rapproche, elle approche, se rapproche...
6 mois
Oui, cela fait 6 mois (non, plus même XX) que je ne l'ai pas vu, que je n'ai pas pu le toucher. Ne vous méprennez pas ! Il n'est pas question d'un garçon (XD) ! Nan, lundi, vers 10h30, je vais le retrouver après 6 longs mois de séparation. Lui ? C'est qui ? La personne la plus importante de ma vie (^^). Enfin... la chose le plus importante de ma vie pour le moment. Parce que lundi, quand je l'aurais de nouveau entre les mains et que j'aurai l'impression de vivre pour la première fois, je verrai aussi l'avenir se dérouler d'un seul coup à mes pieds. Le chemin que je voulais prendre va enfin s'ouvrir. Je vais m'y engager aussitôt. Il se peux que je trébuche, que je tombe même. mais je veux tout faire pour aller le plus loin possible. Je sais que cette voie est plus dur que tout, plus dur que n'importe quoi, mais je veux me donner à fond pour ça parce que c'est mon rêve depuis que je suis gamine. Alors il se peut que je revienne sur mes pas parce que cette voie m'aura regettée, mais en attendant je vais tout faire pour réussir, je le doit bien à tous ceux qui m'on soutenue et qui me soutiennent toujours !
Lundi, je vais récupéré, enfin, ce "vieux" manuscrit énorme et enfin me remettre à vivre. ENFIN !!!! Je sais que l'édition est un monde de requin mais je suis dure comme du cristal à force de me heurter à leurs épines empoisonnées. Je vais y arriver. Je dois y arriver.
Vendredi 18 septembre 2009 à 20:28
Voilà, je voulais dire merci à tout ceux qui prennent le temps de passer voir mon blog, même s'ils ne laissent pas de com. Et pour ceux qui en laissent je voulais vous dire à quel point ils me touchent et me font très plaisir. J'ai l'impression d'exister au moins pour quelque personnes et de leur faire plaisir, du moins je l'espère. Alors merci, encore merci.
Mardi 1er septembre 2009 à 21:49
C'est reparti. L'habitude, les gestes mécaniques. Se lever, trop tôt. Prendre le bus, comme avant. Assister au cours, rien n'a changé depuis la petite-section. Rentrer, lasse. Reprendre le bus, le même deux fois par jour depuis Dieu sait depuis combien de temps. Faire ses devoirs, comme si les huit heures de cours ne suffisaient pas. Manger, écouter les plaintes des autres membres de la famille. Aller se coucher, toujours trop tôt...
C'est reparti. L'habitude. Le poison. La longue chute. Infinie. Qui ne veut jamais s'arrêter, surtout pas pour moi. La dépression, lente et ténébreuse, cette aube mortelle et angoissante, étouffante, nuit trop vite achevée tout juste née à l'autre bout du monde, ombre traînante et silencieuse qui glisse sur l'eau au matin, messagère de l'apocalypse de mon coeur déjà trop fatigue par d'incessantes et inutiles luttes pour vivre... ou survivre.
C'est reparti. L'habitude. Le poison. La longue chute. Infinie. Qui ne veut jamais s'arrêter, surtout pas pour moi. La dépression, lente et ténébreuse, cette aube mortelle et angoissante, étouffante, nuit trop vite achevée tout juste née à l'autre bout du monde, ombre traînante et silencieuse qui glisse sur l'eau au matin, messagère de l'apocalypse de mon coeur déjà trop fatigue par d'incessantes et inutiles luttes pour vivre... ou survivre.