Jacob Black
Princess.des.Anges
Ecrire pour exister, exister pour écrire
Jeudi 16 juillet 2009 à 19:47
Jacob Black
Jeudi 16 juillet 2009 à 19:36
Samedi 4 juillet 2009 à 17:37
Quand la vie prend fin, que voudrait-on laisser derrière soi ? Que pouvons-nous laisser, même ? La vie, sur cette terre, à commençé il y a des million d'années. Après nous, elle poursuivra son procésus sans fin de survie. Et nous, dans tout ça ? Que sommes-nous devenus ? Qu'avons-nous laissé ? Nous sommes nous éffacé des mémoires comme si nous n'avions jamais existé ?
Vent
Poussière
Soleil
Larme
Souvenir
SOUVENIR
Comment faire ? A la fin de chaque vie, tout est emporté ! Il n'y a plus rien, nous n'avons jamais existé. Et pourtant, quelque part, un jour, nous existâmes. Mais ça, qui s'en souvient ?
J'aimerai, moi, que mon départ se fasse plus tôt. Je voudrai n'être encore qu'une gamine qui aurai subitement disparue de sa chambre. Ils seraient rentré de dans, et tout se qu'ils auraient trouvé, c'est...
Un crayon
Du papier
Des feuilles volant au vent
La fenêtre grande ouverte
Brusquement, sans prévenir, je n'étais plus.
J'étais libre !
Mardi 30 juin 2009 à 16:24
Extrait 2
Entre souvenir et éternité Chapitre 9 - Déjà vu
Je sorti en coup de vent de ma chambre et gagnais le grenier à la vitesse de la lumière. J'ouvris la vieille armoire poussièreuse qui avait appartenu à ma mère, à grands gestes tremblants virais tout ce qui en recouvrait le fond, et m'enfermais dedans comme une enfant qui joue à cache-cache. Je me mordi férocement les doigts et senti les larmes affluer. Pas parce que j'étais en train de me faire mal mais parce que Liam m'avait fait mal. Très mal. Mal au coeur. Peu importe si j'étouffais dans cet endroit poussièreux et vieux. Au moins je ficherais la paix au monde entier. J'avais trop mal pour faire quoi que se soit d'autre que mourir."
Mardi 30 juin 2009 à 12:05
C'est un besoin vital. J'en ai besoin pour vivre. je ne savais pas, je ne pouvais pas savoir... Personne ne m'avais dit qu'en prenant la plume à 7 ans, je serais par la suite incapable de me séparer d'une feuille en papier et d'un crayon, que je serais obligée, complétement possédée et omnibulée par l'idée d'écrire, écrire, écrire et écrire encore ! De l'autre côté je ne vais pas me plaindre de cette charmante maladie de l'écrivain, parce que j'aime écrire, j'aime, j'aime, j'aime !
Bon, je vais vous dire, je ne m'étais pas vraiment rendu compte que j'écrivais déjà à sept ans. C'est ma mère qui me l'a montré. Elle à sortit des trucs des placards et là elle m'a montré un tas de trucs que j'avais écrit. Poèmes, petites histoires... ^^ J'ai poursuivit ma tranquille carrière de jeune pousse d'écrivain tout au long de ma petite vie... Et puis un jour BOUM ! Ah ! C'était en 4ème. J'avais 13 ans. Et là, j'ai carrément perdu les pédales. Qui aurait crû que j'allais me mettre à écrire des livres ?! C'est un peu comme une ode au piano...
FOLIE PASSIONNEE
Et encore. Là, c'était mes permiers pas si je puis dire. Parce que arrivée en 2nd. J'ai complètement déraillé ! Et dire que j'avais à peine 15 ans... C'est triste de perdre la tête à un si jeune âge...
Résultat :
Je me retrouve à 16 ans, avec une trilogie de finie, une autre de commençée, et tas de millions de montagne des feuilles de papier avec pleins de textes éparts.
Pour ceux qui me connaissent, quelque chose à rajouter là-dessus ?
Et pour ceux qui ne me connaissent pas (^^) des commentaires peut être ?
Dimanche 28 juin 2009 à 19:37
Dire je t'aime d'une façon originale, dans une autre langue ? C'est possible ! Mais d'abord, un petit mot sur l'amour !
AMOUR :
Comment décrire l'amour ? Hum... je dirais que chacun en a sa propre définition suivant les expériences. Néanmoins, certaines citations de certains auteurs sont très belles. Au cas ou vous seriez intéressés par ces citations, dites-le moi et je les ajouterais au fur et à mesure ;)
Alors donc, voici une façon de dire "je t'aime" chez les Maories en Nouvelle-Zélande :
Taku aroha ki a koe
Voilà. Et puis si vous connaissez d'autres langues pour exprimer ceci, n'hésitez pas à m'en parler que je puisse étoffer mon article (parce qu'à part "I love you", "Te quiero", "Ti amo", bah je connais rien et puis c'est plus vraiment original !)
Mercredi 24 juin 2009 à 19:56
...
Il y en a des tonnes de questions de ce genre que l'on se pose à longueur de journée. Certaines n'auront jamais de réponses. D'autre, ne se résoudront que par ceux qui vous entour. Et les dernières, et bien... tout dépend de soi-même ; la réponse est là, quelque part, aus fond de soi. Mais on a souvent du mal à aller en profondeur, à aller au plus profond de son être. Certains parviennent à dire les choses comme ils le pensent mais avec sincérité et profondeur. Les autres, quant à eux, peuvent avoir du mal à aller puiser les mots dans leur propore coeur.
Moi, dans cette maison, dans cette rue, dans cette ville, dans ce pays, dans ce monde, dans cet univers... et bien... je ne sais pas vraiment ce que je suis ni pourquoi je suis faite. Les autres me le dirons sûrement, mais c'est ce que je suis pour eux et non ce que je suis pour moi. Ce sont les questions de l'adolescence. Ce sont des questions qui, plus tard, quand j'aurais trouvé ma place et grandit, mûri aussi, n'auront plus lieu d'être. Les adultes ne se posent pas ce genre de question. Parce qu'en grandissant on devient sérieux, on ne s'amuse plus de la même façon, on à tendance à moins rire, à moins trouver de côté comique dans les farces des enfants... Mais vu par les plus petits, c'est tellement beau la vie ! Alors j'aimerai redevenir une enfant et jamais grandir, non, ne plus grandir. Rester avec ce corps ça ne me dérangerait pas. C'est pour continuer à sourire, pour voir comme les enfants, toujours, jusqu'à ma mort, et m'amuser comme eux de choses que les autres dédaignent ou méprisent.
Je souhaiterais ne jamais avoir grandit, être rester un enfant innoncente et simple ou tout à mes yeux serait resté vrai et sans artifices.
Mardi 23 juin 2009 à 22:13
Voilà une petite vidéo sympa de Wolf's rain. (Et oui, encore Wolf's rain ! En ce moment je suis dingue de cet anime ! ^^) Avec la chanson "Harmony" de Kokia en fond. N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez, du manga en général, de la vidéo même si vous voulez (^^ eh eh!) et de la musique.
Wolf's rain - Harmony Kokia
envoyé par Princess_des_Anges. - Rencontrez plus de personnalités du web.
Lundi 22 juin 2009 à 22:45
BAC, BAC, BAC...
C'est ridicule.
Alors pourquoi passer le BAC ?
C'est la République, la Démocratie Française... Hum ! Comme c'est joli la jeunesse de France ! Venez mes enfants ! Je vous aime ! Je n'ai pas de travail pour vous, je vous fait travailler en échange, je vous met à la rue ! Venez à moi, venez vers moi, je vous aime. J'aime votre argent, me moquer de vous et vous utiliser ! Je suis con, conne, je vous tue, vous fait souffrir, vous incite à vous révolter et je vous fait taire ensuite en utilisant des moyens peu fair-play !
Ce que je pense du lycée ?
Une garderie pour jeunes adultes.
Ce que je pense de l'Education ?
Un moyen de dire au autre pays, de leur faire croire, que la jeunesse française est une jeunesse soumise et aprivoisée.
Ce que je pense de la Politique ?
Un odieux procédé utilisé pour caché la misère qu'elle dirige, à qui elle promet le ciel en lui donnant la rue.
Samedi 20 juin 2009 à 20:24
Résumé:
Les loups... race éteinte depuis près de 200 ans...
Aujourd'hui, dans ce monde post-apocalyptique en passe de mourir dans très très peu de temps, plus personne ne sait à quoi ces animaux ressemblaient. Plus personne ne croit même à leur existence. Pourtant... un homme est convaincu qu'il en reste encore ; des loups qui auraient pris forme humaine pour survivre parmi les humains.
Selon le Livre de la Lune, il existerait une sorte de Paradis, le « Rakuen », que seuls les loups sont à même de découvrir et d’ouvrir, à l’aide d’une « fille-fleur ». Ce n’était jusque là qu’une légende cloisonnée dans un bouquin. Enfin… jusqu’au jour un homme, Quent Yaiden, un chasseur de loups (peut être bien le dernier humain à croire encore en leur existence) et sa chienne, Blue, arrivent à Freeze City. Le vieil homme sait que des loups se cachent là. Un peu plus tard, d’ailleurs, Kiba, un grand loup blanc blessé, est découvert sous un arbre. Ayant vécu dans des contrée reculées, loin des hommes, il va vite comprendre que son seul moyen de survivre est de se faire passer pour un humain, et devoir ainsi comme il le dit, déshonoré sa fierté de loup, grâce à l’aide de trois autres loups de la ville, Tsume, Hige et Toboe.
Au même moment, des scientifiques enfermés dans un labo spécial, constatent l’éveil de la jeune fille aux fleurs qu’ils guettaient depuis si longtemps. Cheza venait de se réveiller.
Les quatre loups répondent immédiatement à l’appel de Cheza.
Et si le Livre de la Lune disait vrai ? Et si c’était la fin du monde et que les loups allaient vraiment ouvrir le Paradis, atteindre le Rakuen et vivre dans un monde meilleur ?
Manga en 30 épisode de 23 min environ. Pour les regarder vous pouvez aller ici : http://scan-streaming-telechargement-manga.com/StreamingWolf'sRain.htlm
Vraiment un magnifique manga ! A ne pas louper, surtout pas.
Jeudi 11 juin 2009 à 20:56
Extrait 1
Entre l'aurore et le crépuscule Chapitre 13 - Sombre avenir
"Il pleuvait. Je ne pris même pas la peine de rabattre ma capuche sur ma tête. La pluie me rapellait la fatalité des choses. Mon accablement n'était que le reflet du leur. J'avais mal au coeur pour eux. Parce que je savais que c'était une épreuve importante, comme ils avaient crû devoir vivre sous les nuages et au-dessus des flammes mais qu'en réalité il n'y avait rien. Ni Paradis ni Enfer. Un monde de mensonges et de fausses paroles."
Lundi 8 juin 2009 à 19:14
Voyager autour du monde, découvrir autre chose, s'évader dans les forêts, disparaitre dans les lacs, murmurer dans les cavernes, crier au sommet des montagnes, naviguer sur les océans, bronzer sur les plages, prendres des photos... un miliard de photos ! et surtout... surtout, s'emplir la tête de souvenirs, les garder, les consigner, les savourer, les partager...
C'est ça voyager. On voyage une première fois, pour nous. La seconde fois c'est pour les autres, pour leur raconter...
Vendredi 5 juin 2009 à 19:20
So7 & K7
Les sentiments tiennent à peu de mots
Je ne pense pas tout ce que je dis
Je ne dis pas tout ce que je pense
Mais là c'est différent
Il n'y a rien d'autre à dire
souvenirs
sentiments
émotions
bonheurs
So7 and K7 forever !!! <3
Jeudi 4 juin 2009 à 18:36
- Dis, qu'est-ce qu'il y a après la mort ?
- Je ne sais pas.
- Tu crois qu'une nouvelle vie m'attend ?
- J'aimerai, mais je ne veux pas que tu partes.
Sourire
- Je n'ai plus peur de partir tu sais ? A force de me le répéter, je m'y suis habituée...
Silence
- Mais dis-moi ! Il y a quelque chose après ?
- Un paradis.
- Un paradis ?
- Oui. Il est la personnification de la vie que tu voulais avoir. C'est pour ça, peut être, que l'on dit qu'une autre vie nous attend là-bas; une vie meilleure...
Réflèxion
- Me voilà rassurée.
- Je croyais que tu n'avais plus peur de mourir ?
- Non... plus vraiment. C'est ce que je laisse derrière moi qui m'attriste. C'est pour ceux que je laisse ici que je souffre. Mais si tu dis que c'est une personnification de la vie que je voulai vivre, alors tous ceux que j'aime seront là. Même s'ils n'en auront pas conscience. On dit que se sont les morts qui viennent visiter les vivants, mais n'est-ce un peu le contraire et que les vivants ne se rendent pas compte qu'ils touchent l'autre coté de l'abyme du bout de leurs doigts ?
Concidération
- ça peut expliquer les phénomènes paranormaux.
Entendue
- Qu'est-ce que je deviendrai après ma mort ?
- Poussière. Tu seras les fleurs dans les arbres au Printemps, le soleil resplendissant en été, la neige de l'hiver, les feuilles mortes de l'automne. Tu seras partout et chacun, nous te toucherons chaque jour mais sans le savoir. Nous entendrons tes murmures sans savoir que quelqu'un nous parle. Nous te verrons sans savoir que tu es là.
- Tu vois, tu sais.
Embarra
- Ce ne sont que des suppositions. Mes propres croyances. Personne ne sait ce qu'il y a derrière le rideau. On ne devrais pas en parler.
- Et voilà ! Parce qu'on ne sait pas, parce que l'on ne connait pas la Mort, que l'on est incapable de la contrôler, on la concidère comme un sujet tabou et douloureux. Mais ils ne savent pas. Non, ils ne savent pas... Une vie meilleure peut nous attendre, alors pourquoi nous plaindre ? Ce n'est pas sur mon sort que je pleure mais sur le votre. Parce que je quitte un monde qui souffre plus que moi, parce que je ne verrai pas le dernier jour se lever, parce que ce n'est pas moi qui vous quitte mais vous qui m'abandonnez ; parce que la vie est un cadeau et la mort un soulagement.
Douleur. Tristesse. Souffrance. Les mots font mal.
- Je n'aime pas quand tu parles comme ça.
- Si les morts pouvais parler, c'est ce qu'ils diraient.
- Qu'en sais-tu ? Ils sont morts.
- Parce que moi, n'attendant plus rien de la vie, j'ai dépassé la bétise humaine, et mes sens s'étendent au-delà des perçeptions des autres. Je vois déjà les rivages blancs, les fleuves d'argent, et parce que je les vois, eux. Ils murmurent à mon oreille ce qu'ils voudraient dire aux vivants.
- C'est faux. Tu délires.
Trop tard. Elle est déjà partie. Elle à rejoint les murmureurs, les gardiens du silence. Disait-elle vrai ? Etait-elle en train de délirer ? Y a-t-il vraiment quelque chose après la mort ? Que devenons-nous ?
Une lumière. Blanche. S'allume. Elle s'éteind. Disparait. Une autre à prit sa place.
Mercredi 3 juin 2009 à 21:54
Le force du porteur de l'anneau faibli. En son coeur, Frodon commence à perçevoir, que la quête lui coûtera la vie.
Vous le savez, vous l'avez préssentit. C'est le risque que nous avons tous prit.
Dans les ténèbres grandissantes, la volonté de l'anneau se renforce. Dorénavent, il s'emploi à retrouver le chemin de la main des Hommes Hommes si aisément séduits par son pouvoir. Le jeune capitaine du Gondor n'a qu'à tendre la main, s'emparer de l'anneau et le monde s'éffondrera. Aujourd'hui il est tout près, si près d'atteindre son but... Car Sauron dominera toute vie sur cette terre, même si cela conduit à la fin du monde.
Le temps des Elfes est révolu.
Devons-nous abandonner la terre du milieu à son destin ? Laisserons-nous ces peuples se défendre seuls ?
Mercredi 3 juin 2009 à 20:02
Ou sont le cheval et le cavalier ? Ou est le cor qui sonnait ?
Ils sont passés comme la pluie sur les montagnes, comme un vent dans les prairies.
Les jours sont descendus à l'Ouest, derrière les collines, et dans l'ombre...
Comment en est-on arrivé là ?
"Mais que peuvent les Hommes face à tant de haine ?"
Mercredi 3 juin 2009 à 17:56
Une goutte... tombe et glisse. Perle cristaline perdue dans un océan de douleur. Elle poursuit son chemin, ne s'arrête pas. Elle ne sait pas pourquoi elle est là, ce qu'elle annonce, mais elle fait sagement ce qu'on lui demande : elle trahit les sentiments. Beauté perdue de l'univers, joyau déchu de la nuit et du jour, tombée du lac qui la retenait prisonnière. Fragile, délicate, douce, elle à le gout de la douleur, de l'impuissance, et pourtant rien n'est plus naturel ni plus vrai qu'elle, cette perle salée perdue dans l'univers des choses et des Hommes, un univers ou elle apparait de plus en plus en raison d'une foule de personnes qui ne peuvent pas les retenir indéfiniment face à ce qu'il endurent chaque jour. Bébé, bambin, enfant, adolescent, adulte, agé... tous. Même les plus sage et les plus durs. Elle les visite tous.
Ils ont des sentiments qui, joyeux ou tristes, les amènent à pleurer
Et petite goutte, petite perle, petite larme cristaline
Elle coule, s'égare, se confond, se perd dans l'univers de la réalité
Mercredi 3 juin 2009 à 17:17
Je perds dans les soupirs de la nuit, la moitié des songes qui m’ont habitée. Seule dans le froid, étendue sur un lit de marbre, les yeux emplis des obscurs cauchemars qui me hantent à chaque nouvelle lune, les papillons noirs des ténèbres s’envolent de mes iris, vont condamner mes étés et mes printemps. Tout n’est qu’obscurité et douleur, souffrance et mort. Le ciel est noir, sans étoile et sans lune, avalés par mes terribles cauchemars qui viennent ramper le long de mes membres, m’immobilisent, m’interdisent de m’échapper. Je suis leur prisonnière et je ne pourrais m’enfuir qu’au lever du jour, quand les papillons de lumière répandront leurs vols sur moi, illumineront mes yeux de soleil et habilleront le sol d’éclat argenté.
Mercredi 3 juin 2009 à 15:58
- Tu viens demain ?
- Franchement ? Je voudrai venir. Je veux pas venir. J'ai moi qui m'attend chez moi... Tu ne comprend sûrement pas, mais c'est exactement ça.
- Euh .... non je ne comprend pas tout. Tu peux m'aider ?
- J'aimerai venir avec vous. J'en ai très envie. Mais... de l'autre côté, il y a moi, qui dit que je ne veux pas y aller. Elle veut juste que je rentre. Il y a ce que j'ai envie de faire et ce que je suis.
- Oh ! La philosophie c'est seulement l'année prochaine tu sais ? Tu m'embrouilles, je ne comprends rien. ça veux dire oui ou non ?
- Hum... Non.
- C'est juste que je ne comprenais rien à ton charabia.
- Je tentais de t'expliquer le dilemme qui me torture l'esprit face à cette question : venir ou pas ?
- Tu aurais mieux fait d'aller droit au but, j'ai l'esprit tout chamboulé.
- Je suis comme ça. Il n'y a personne qui y voit vraiment clair quand je me met à parler comme je pense. Mais c'est moi. Juste moi. Exactement moi.
- Il n'y a pas de problème, nous savons que c'est toi ! On te reconnait.
Ainsi, on apprend que ceux qui nous entourent nous connaissent. Un peu. Mais ils tiennent à nous. Et pour cela, on l’apprend comme ça, ils nous aiment beaucoup, vraiment, avec sincérité. Cela s’appelle le partage, la tolérance, l’amitié. C’est ce qu’on appelle aimer vivre et savoir pourquoi. Pas besoin d’être rangé, d’entrer dans un moule, quel qu’il soit. Il suffit seulement d’être soit même, car c’est sous cette forme que l’on nous aime le plus, c’est notre meilleur personnage.