Tout s'achèvera demain et tout commence aujourd'hui
Princess.des.Anges
Ecrire pour exister, exister pour écrire
Samedi 8 mai 2010 à 20:04
Tout s'achèvera demain et tout commence aujourd'hui
Vendredi 9 avril 2010 à 18:06
Avec le soleil et cette douce chaleur qui revient, j'ai le sourire facile et la vie plus belle (oui, oui ! C'est bien moi qui dis ça! =p ). L'ultime bac blanc est derrière moi (même si ça ne m'a pas parru brillant), j'ai de la musique plein les oreilles, partout, tout le temps, des petits bonheurs faciles et puis même si je semble devoir échouer dans tout ce qui me tiens à coeur, j'ai réussi à trouver ma robe pour la fin de l'année, le part en Italie cet été et j'ai bien l'intention d'avoir mon bac en Juin !
Les autres ont le sourire plus facile aussi, et puis même si l'échéance approche trop vite, tout le monde semble être plus cool. Et c'est fou comme le sourire des autres, et les simple merci peuvent faire un bien immense. Sur un trottoire trop étroit, il y a quelque jour, j'ai laissé passer deux dames âgées. Elles m'ont sourit et dit merci, j'ai presque eu envie de courir partout et de crier à quel point j'étais heureuse. ça peut paraitre stupide, mais cette gentillesse inée est désormais une qualité aussi noble que rare, alors le fait de simplement entendre les autre vous dire merci, et en souriant en plus, alors que vous ne les connaissez même pas, moi, ça me fait vraiment plaisir.
Pas comme Sonya... grrr... celle-là je l'étranglerait bien pour son manque de politesse. Elle m'exarcèrbe. Heureusement, elle n'était pas dans ma classe l'année dernière et elle ne le sera pas l'année prochaine. ouf ! (Je crois qu'avant la fin de l'année, je vais craqué et finir par lui faire apprendre les "merci" et les "s'il te plait")
Donc voilà ! Il fait beau, il fait bon, j'ai ma robe de fin d'année, il ne reste même pas deux mois de cours, je suis en vacances, je les vois dans quelques jours, alors tout va pour le mieux, je suis heureuse, et je prends la vie du bon côté pour une fois ! ^^
Dimanche 6 décembre 2009 à 17:29
C'est fini ! Mon petit chéri va tenter sa chance et part pour Paris avnt la fin de la semaine ! Alors je croise les doigts pour lui et merci à tous ceux qui m'ont soutenu dans ce projet colossal. Il ne reste plus qu'a espérer un avis favorable de la part de ce monde de requin et ma vie changera pour toujours et radicalement. Du moins pour ce qui est de mon estime de moi. Parce que si ça marche, alors ça veut dire que je suis capable de faire quelque chose de bien. Et j'aurai enfin réalisé mon rêve :
Faire en sorte que ces images que j'ai dans la tête ne soient pas seulement réelles que pour moi. Je veux partager cette aventure avec tous ceux qui le souhaite.
Alors je dit de nouveau merci à tous ceux qui m'ont aidés et soutenus et c'est maintenant ou jamais que mon avenir se joue alors je vais espéré très fort que se soit un avis favorable.
Faire en sorte que ces images que j'ai dans la tête ne soient pas seulement réelles que pour moi. Je veux partager cette aventure avec tous ceux qui le souhaite.
Alors je dit de nouveau merci à tous ceux qui m'ont aidés et soutenus et c'est maintenant ou jamais que mon avenir se joue alors je vais espéré très fort que se soit un avis favorable.
Samedi 3 octobre 2009 à 19:15
Peur. Frayeur. Tristesse. Vide. Néant.
Non, ce n'est pas possible. Je refuse. Non. Je n'en suis pas capable. Je ne peux pas. Pas après tout ce que nous avons traversé, eux et moi.
Je me souviens encore, il pouvait m'arriver n'importe quoi, ils étaient là pour me soutenir, j'étais là pour eux. Même en Avril 2008, alors que j'ai été opérée des dents de sagesse. Encore des traces de l'anestésie générale, un esprit encore flou, une aiguille plantée (comme par hasard) dans l'intérieur de mon coude gauche, m'empêchant d'écrire (enfin, normalement). Oh ! Rien de cela ne m'a arrêté ! J'ai profité de cet instant de calme et de soleil, de liberté, loin des contraintes extérieures et lourdes des hommes. Et dans cet instant, même mon esprit embrumé, même l'aiguille dans mon bras, ne m'ont pas empêché d'écrire, de les aider. La fille à côté de moi n'arrêtait pas de vomir du sang. J'avais pitié d'elle, alors ma pitié pour eux s'est accrue. Je suis comme ça avec eux. Dès que je vois quelque chose, qu'il m'arrive quelque chose, ça leur tombe dessus et c'est tout pour leur pomme. Ils sont le reflet de ma vie, en fin de compte. Ils sont moi, je suis eux, nous ne sommes qu'un. Ils ne se plaignent pas, malgré le mal qu'ils endurent par ma faute. Parfois ils se sentent perdus, parfois totalement désespéré (à cause de moi), mais je ne les laisse jamais tomber. Je ne les laisserai jamais tomber. Non.
C'est pour ça que je ne peux pas, non, j'en suis incapable... leur dire au revoir, me faire à l'idée que je ne les reverrai plus, qu'ils ne m'empêcheront plus de dormir,... Ils occupaient toujours toute ma vie, tout le temps... Sursaut brutal de l'esprit, le crayon qui s'agite brutalement, le papier blanc qui se couvre d'une écriture lisible mais d'où parfois il manque des mots à cause de ma précipitation... c'est ça l'imagination.
Donc je refuse. Je refuse de leur dire adieu. Jamais. Ils sont une part de moi. Si j'écris trois lettres, former un mot, s'en est fini d'eux, s'en est fini de moi. Une part de mon être aura disparu, sera morte pour toujours...
Non, ce n'est pas possible. Je refuse. Non. Je n'en suis pas capable. Je ne peux pas. Pas après tout ce que nous avons traversé, eux et moi.
Je me souviens encore, il pouvait m'arriver n'importe quoi, ils étaient là pour me soutenir, j'étais là pour eux. Même en Avril 2008, alors que j'ai été opérée des dents de sagesse. Encore des traces de l'anestésie générale, un esprit encore flou, une aiguille plantée (comme par hasard) dans l'intérieur de mon coude gauche, m'empêchant d'écrire (enfin, normalement). Oh ! Rien de cela ne m'a arrêté ! J'ai profité de cet instant de calme et de soleil, de liberté, loin des contraintes extérieures et lourdes des hommes. Et dans cet instant, même mon esprit embrumé, même l'aiguille dans mon bras, ne m'ont pas empêché d'écrire, de les aider. La fille à côté de moi n'arrêtait pas de vomir du sang. J'avais pitié d'elle, alors ma pitié pour eux s'est accrue. Je suis comme ça avec eux. Dès que je vois quelque chose, qu'il m'arrive quelque chose, ça leur tombe dessus et c'est tout pour leur pomme. Ils sont le reflet de ma vie, en fin de compte. Ils sont moi, je suis eux, nous ne sommes qu'un. Ils ne se plaignent pas, malgré le mal qu'ils endurent par ma faute. Parfois ils se sentent perdus, parfois totalement désespéré (à cause de moi), mais je ne les laisse jamais tomber. Je ne les laisserai jamais tomber. Non.
C'est pour ça que je ne peux pas, non, j'en suis incapable... leur dire au revoir, me faire à l'idée que je ne les reverrai plus, qu'ils ne m'empêcheront plus de dormir,... Ils occupaient toujours toute ma vie, tout le temps... Sursaut brutal de l'esprit, le crayon qui s'agite brutalement, le papier blanc qui se couvre d'une écriture lisible mais d'où parfois il manque des mots à cause de ma précipitation... c'est ça l'imagination.
Donc je refuse. Je refuse de leur dire adieu. Jamais. Ils sont une part de moi. Si j'écris trois lettres, former un mot, s'en est fini d'eux, s'en est fini de moi. Une part de mon être aura disparu, sera morte pour toujours...
Vendredi 17 juillet 2009 à 22:50
Infini, néant... Je plonge. Chute sans fin et sans fond. Ou suis-je censée m'arrêter ? Jusqu'ou aller ? Quand stoper les choses ? Comment les maîtriser ? Destin. Goutte. Goutte. Goutte. Le temps s'écoule. Il s'écoule silencieusement, sournoisement. Il s'écoule. Sans jamais s'arrêter. Sans jamais nous attendre.
Profondeur. Gouffre. Noir. Noir. NOIR. Tomber encore et encore. Réessayer. Lutter. Persévérer. Sans résultat. Sans rien. Rien. Ni fin ni commencement. Abandonner. Baisser les bras. Se relever. Chuter encore et encore.
Eternité. Fermer les yeux. Recommencer. Oser. Tourner la page. Essayer autre chose. C'est trop dur. Trop douloureux. Je chute toujours. Qui pourra bien me retenir ? Qui voudra me retenir ? Eternellement, toujours, à jamais... je chute inexorablement vers le fond. Sans possibilité de remonter. Rien. Ni corde, ni échelle, ni rien. Pas même un bras, un sourire, un regard.
Rien. Rien. Rien.
Le néant. L'infini. Le monde.
Mais pas moi.
Samedi 4 juillet 2009 à 17:37
Quand la vie prend fin, que voudrait-on laisser derrière soi ? Que pouvons-nous laisser, même ? La vie, sur cette terre, à commençé il y a des million d'années. Après nous, elle poursuivra son procésus sans fin de survie. Et nous, dans tout ça ? Que sommes-nous devenus ? Qu'avons-nous laissé ? Nous sommes nous éffacé des mémoires comme si nous n'avions jamais existé ?
Vent
Poussière
Soleil
Larme
Souvenir
SOUVENIR
Comment faire ? A la fin de chaque vie, tout est emporté ! Il n'y a plus rien, nous n'avons jamais existé. Et pourtant, quelque part, un jour, nous existâmes. Mais ça, qui s'en souvient ?
J'aimerai, moi, que mon départ se fasse plus tôt. Je voudrai n'être encore qu'une gamine qui aurai subitement disparue de sa chambre. Ils seraient rentré de dans, et tout se qu'ils auraient trouvé, c'est...
Un crayon
Du papier
Des feuilles volant au vent
La fenêtre grande ouverte
Brusquement, sans prévenir, je n'étais plus.
J'étais libre !