Princess.des.Anges
Ecrire pour exister, exister pour écrire
Vendredi 9 avril 2010 à 15:14
Extrait 5
Entre souvenirs et éternité Chapitre 32 - Eternité
"Je souris faiblement et senti mes larmes couler. Mais ce qui gouttait dans mon cou et glissait doucement, pour la première fois depuis ces sombres mois, ce n'était pas du sang. C'était des larmes. Ses larmes. Je pleurais avec lui."
Avoir l'éternité, aimer, souffrir, pleurer, mourir, s'offrir, dire adieu, au revoir, oublier, et puis surtout, se souvenir...
Mercredi 28 octobre 2009 à 18:26
Cette fois, c'est la bonne. Oui, je crois que c'est pour ce soir. Rien pour repousser l'instant fatidique tant redouté, une chanson "Canzone of the death" qui ne peu que m'incité, imencablement, à poursuivre mon chemin, le coeur indécis, mourant, au bord des lèvres, les images qui défile dans ma tête à une vitesse vertigineuse, les larmes qui martellent mon visage comme autant de petits poignards qui viennent ensuite se planter dans mon coeur sans aucune pitié.
Je ne savais pas que ça se passerait comme ça, on ne m'avait rien dit, ni prévenue. Est-ce que ça arrive à tout ceux qui sont comme moi ? Est-ce que, le moment des adieux venu, c'est normal que mon coeur palpite à se point à m'en faire vraiment mal ? Et ces mots que je ne veux ni prononcer ni écrire, pourquoi faut-il qu'ils soient si sinistre et si durs, si blessants, meurtriers ? Mon coeur ne le supportera pas.
Je voudrais croire que le temps des adieux n'est pas encore venu. Mais se serait nier l'évidence. Ce qui veux dire qu'il faut que je passe par là, que je souffre. je ne sais pas si je vais le surmonter un jour. Je voudrais vraiment être courage pour ça mais le coeur n'y est pas, et faire quelque chose sans y mettre du coeur, c'est ne rien faire. Alors je pourrais prier le petit Jésus... Nan, je plaisante ! Là se serait royalement me foutre de la gueule du monde après avoir écrit ce que j'ai écrit et pour penser ce que je pense. Je n'ai plus qu'à espérer que mon coeur supporte le choc... A moins que quelqu'un est une solution miracle, ce dont je doute fort...
Les faiblesses du genre humain font la noblesse des diablotins, autant que le courage des hommes fait l'honneur de ceux qui les entourent.
Je ne savais pas que ça se passerait comme ça, on ne m'avait rien dit, ni prévenue. Est-ce que ça arrive à tout ceux qui sont comme moi ? Est-ce que, le moment des adieux venu, c'est normal que mon coeur palpite à se point à m'en faire vraiment mal ? Et ces mots que je ne veux ni prononcer ni écrire, pourquoi faut-il qu'ils soient si sinistre et si durs, si blessants, meurtriers ? Mon coeur ne le supportera pas.
Je voudrais croire que le temps des adieux n'est pas encore venu. Mais se serait nier l'évidence. Ce qui veux dire qu'il faut que je passe par là, que je souffre. je ne sais pas si je vais le surmonter un jour. Je voudrais vraiment être courage pour ça mais le coeur n'y est pas, et faire quelque chose sans y mettre du coeur, c'est ne rien faire. Alors je pourrais prier le petit Jésus... Nan, je plaisante ! Là se serait royalement me foutre de la gueule du monde après avoir écrit ce que j'ai écrit et pour penser ce que je pense. Je n'ai plus qu'à espérer que mon coeur supporte le choc... A moins que quelqu'un est une solution miracle, ce dont je doute fort...
Les faiblesses du genre humain font la noblesse des diablotins, autant que le courage des hommes fait l'honneur de ceux qui les entourent.
Mercredi 3 juin 2009 à 17:56
Une goutte... tombe et glisse. Perle cristaline perdue dans un océan de douleur. Elle poursuit son chemin, ne s'arrête pas. Elle ne sait pas pourquoi elle est là, ce qu'elle annonce, mais elle fait sagement ce qu'on lui demande : elle trahit les sentiments. Beauté perdue de l'univers, joyau déchu de la nuit et du jour, tombée du lac qui la retenait prisonnière. Fragile, délicate, douce, elle à le gout de la douleur, de l'impuissance, et pourtant rien n'est plus naturel ni plus vrai qu'elle, cette perle salée perdue dans l'univers des choses et des Hommes, un univers ou elle apparait de plus en plus en raison d'une foule de personnes qui ne peuvent pas les retenir indéfiniment face à ce qu'il endurent chaque jour. Bébé, bambin, enfant, adolescent, adulte, agé... tous. Même les plus sage et les plus durs. Elle les visite tous.
Les Hommes sont des humains et non pas des machines
Ils ont des sentiments qui, joyeux ou tristes, les amènent à pleurer
Et petite goutte, petite perle, petite larme cristaline
Elle coule, s'égare, se confond, se perd dans l'univers de la réalité
Ils ont des sentiments qui, joyeux ou tristes, les amènent à pleurer
Et petite goutte, petite perle, petite larme cristaline
Elle coule, s'égare, se confond, se perd dans l'univers de la réalité