Princess.des.Anges
Ecrire pour exister, exister pour écrire
Vendredi 9 avril 2010 à 18:06
Avec le soleil et cette douce chaleur qui revient, j'ai le sourire facile et la vie plus belle (oui, oui ! C'est bien moi qui dis ça! =p ). L'ultime bac blanc est derrière moi (même si ça ne m'a pas parru brillant), j'ai de la musique plein les oreilles, partout, tout le temps, des petits bonheurs faciles et puis même si je semble devoir échouer dans tout ce qui me tiens à coeur, j'ai réussi à trouver ma robe pour la fin de l'année, le part en Italie cet été et j'ai bien l'intention d'avoir mon bac en Juin !
Les autres ont le sourire plus facile aussi, et puis même si l'échéance approche trop vite, tout le monde semble être plus cool. Et c'est fou comme le sourire des autres, et les simple merci peuvent faire un bien immense. Sur un trottoire trop étroit, il y a quelque jour, j'ai laissé passer deux dames âgées. Elles m'ont sourit et dit merci, j'ai presque eu envie de courir partout et de crier à quel point j'étais heureuse. ça peut paraitre stupide, mais cette gentillesse inée est désormais une qualité aussi noble que rare, alors le fait de simplement entendre les autre vous dire merci, et en souriant en plus, alors que vous ne les connaissez même pas, moi, ça me fait vraiment plaisir.
Pas comme Sonya... grrr... celle-là je l'étranglerait bien pour son manque de politesse. Elle m'exarcèrbe. Heureusement, elle n'était pas dans ma classe l'année dernière et elle ne le sera pas l'année prochaine. ouf ! (Je crois qu'avant la fin de l'année, je vais craqué et finir par lui faire apprendre les "merci" et les "s'il te plait")
Donc voilà ! Il fait beau, il fait bon, j'ai ma robe de fin d'année, il ne reste même pas deux mois de cours, je suis en vacances, je les vois dans quelques jours, alors tout va pour le mieux, je suis heureuse, et je prends la vie du bon côté pour une fois ! ^^
Vendredi 2 octobre 2009 à 18:16
Extrait 4
Entre souvenirs et éternité Chapitre 25 - Le poids de la vie
"Je pris fermement son visage dans mes mains et l'obligeais à me regarder droit dans les yeux. Toute trace de peur et de doute avait disparu de mon esprit, et affluait parout dans ma tête et dans mes veines, la détermination farouche de lui arracher une promesse qu'il ne voudrait jamais tenir.
- Liam. Jure-moi... jure-le... Jure que ta destinée n'est pas liée à la mienne, que, quoi qu'il arrive, tu continueras à vivre pour épauler les tiens lorsqu'ils auront besoin de toi, que tu seras toujours là pour eux. Jure-moi que ton sort ne sera pas le mien, jamais. Jure-moi de vivre quoi qu'il m'arrive dans les année à venir.
Son visage demeura de marbre. J'aurai voulu y voir une réaction quelconque, mais rien. Rien si ce n'est ses yeux qui semblaient brûler d'un feu infernal, le feu monstrueux et douloureux que laissent la terrible tristesse et le désespoir absolu. Ces yeux firent tant écho en moi, trouvant une réponse enfouie quelque part au fin fond de mon être que des larmes silencieuses se mirent à rouler sur mes joues. Il s'attrista encore davantage à me voir pleurer ainsi après avoir exiger une telle promesse, mais tout ce que j'attendais de lui, c'était une réponse qu'il ne voulait pas formuler."
Samedi 4 juillet 2009 à 17:37
Quand la vie prend fin, que voudrait-on laisser derrière soi ? Que pouvons-nous laisser, même ? La vie, sur cette terre, à commençé il y a des million d'années. Après nous, elle poursuivra son procésus sans fin de survie. Et nous, dans tout ça ? Que sommes-nous devenus ? Qu'avons-nous laissé ? Nous sommes nous éffacé des mémoires comme si nous n'avions jamais existé ?
Vent
Poussière
Soleil
Larme
Souvenir
SOUVENIR
Comment faire ? A la fin de chaque vie, tout est emporté ! Il n'y a plus rien, nous n'avons jamais existé. Et pourtant, quelque part, un jour, nous existâmes. Mais ça, qui s'en souvient ?
J'aimerai, moi, que mon départ se fasse plus tôt. Je voudrai n'être encore qu'une gamine qui aurai subitement disparue de sa chambre. Ils seraient rentré de dans, et tout se qu'ils auraient trouvé, c'est...
Un crayon
Du papier
Des feuilles volant au vent
La fenêtre grande ouverte
Brusquement, sans prévenir, je n'étais plus.
J'étais libre !
Jeudi 4 juin 2009 à 18:36
- Dis, qu'est-ce qu'il y a après la mort ?
- Je ne sais pas.
- Tu crois qu'une nouvelle vie m'attend ?
- J'aimerai, mais je ne veux pas que tu partes.
Sourire
- Je n'ai plus peur de partir tu sais ? A force de me le répéter, je m'y suis habituée...
Silence
- Mais dis-moi ! Il y a quelque chose après ?
- Un paradis.
- Un paradis ?
- Oui. Il est la personnification de la vie que tu voulais avoir. C'est pour ça, peut être, que l'on dit qu'une autre vie nous attend là-bas; une vie meilleure...
Réflèxion
- Me voilà rassurée.
- Je croyais que tu n'avais plus peur de mourir ?
- Non... plus vraiment. C'est ce que je laisse derrière moi qui m'attriste. C'est pour ceux que je laisse ici que je souffre. Mais si tu dis que c'est une personnification de la vie que je voulai vivre, alors tous ceux que j'aime seront là. Même s'ils n'en auront pas conscience. On dit que se sont les morts qui viennent visiter les vivants, mais n'est-ce un peu le contraire et que les vivants ne se rendent pas compte qu'ils touchent l'autre coté de l'abyme du bout de leurs doigts ?
Concidération
- ça peut expliquer les phénomènes paranormaux.
Entendue
- Qu'est-ce que je deviendrai après ma mort ?
- Poussière. Tu seras les fleurs dans les arbres au Printemps, le soleil resplendissant en été, la neige de l'hiver, les feuilles mortes de l'automne. Tu seras partout et chacun, nous te toucherons chaque jour mais sans le savoir. Nous entendrons tes murmures sans savoir que quelqu'un nous parle. Nous te verrons sans savoir que tu es là.
- Tu vois, tu sais.
Embarra
- Ce ne sont que des suppositions. Mes propres croyances. Personne ne sait ce qu'il y a derrière le rideau. On ne devrais pas en parler.
- Et voilà ! Parce qu'on ne sait pas, parce que l'on ne connait pas la Mort, que l'on est incapable de la contrôler, on la concidère comme un sujet tabou et douloureux. Mais ils ne savent pas. Non, ils ne savent pas... Une vie meilleure peut nous attendre, alors pourquoi nous plaindre ? Ce n'est pas sur mon sort que je pleure mais sur le votre. Parce que je quitte un monde qui souffre plus que moi, parce que je ne verrai pas le dernier jour se lever, parce que ce n'est pas moi qui vous quitte mais vous qui m'abandonnez ; parce que la vie est un cadeau et la mort un soulagement.
Douleur. Tristesse. Souffrance. Les mots font mal.
- Je n'aime pas quand tu parles comme ça.
- Si les morts pouvais parler, c'est ce qu'ils diraient.
- Qu'en sais-tu ? Ils sont morts.
- Parce que moi, n'attendant plus rien de la vie, j'ai dépassé la bétise humaine, et mes sens s'étendent au-delà des perçeptions des autres. Je vois déjà les rivages blancs, les fleuves d'argent, et parce que je les vois, eux. Ils murmurent à mon oreille ce qu'ils voudraient dire aux vivants.
- C'est faux. Tu délires.
Trop tard. Elle est déjà partie. Elle à rejoint les murmureurs, les gardiens du silence. Disait-elle vrai ? Etait-elle en train de délirer ? Y a-t-il vraiment quelque chose après la mort ? Que devenons-nous ?
Une lumière. Blanche. S'allume. Elle s'éteind. Disparait. Une autre à prit sa place.