Cette fois, c'est la bonne. Oui, je crois que c'est pour ce soir. Rien pour repousser l'instant fatidique tant redouté, une chanson "Canzone of the death" qui ne peu que m'incité, imencablement, à poursuivre mon chemin, le coeur indécis, mourant, au bord des lèvres, les images qui défile dans ma tête à une vitesse vertigineuse, les larmes qui martellent mon visage comme autant de petits poignards qui viennent ensuite se planter dans mon coeur sans aucune pitié.
Je ne savais pas que ça se passerait comme ça, on ne m'avait rien dit, ni prévenue. Est-ce que ça arrive à tout ceux qui sont comme moi ? Est-ce que, le moment des adieux venu, c'est normal que mon coeur palpite à se point à m'en faire vraiment mal ? Et ces mots que je ne veux ni prononcer ni écrire, pourquoi faut-il qu'ils soient si sinistre et si durs, si blessants, meurtriers ? Mon coeur ne le supportera pas.
Je voudrais croire que le temps des adieux n'est pas encore venu. Mais se serait nier l'évidence. Ce qui veux dire qu'il faut que je passe par là, que je souffre. je ne sais pas si je vais le surmonter un jour. Je voudrais vraiment être courage pour ça mais le coeur n'y est pas, et faire quelque chose sans y mettre du coeur, c'est ne rien faire. Alors je pourrais prier le petit Jésus... Nan, je plaisante ! Là se serait royalement me foutre de la gueule du monde après avoir écrit ce que j'ai écrit et pour penser ce que je pense. Je n'ai plus qu'à espérer que mon coeur supporte le choc... A moins que quelqu'un est une solution miracle, ce dont je doute fort...
Les faiblesses du genre humain font la noblesse des diablotins, autant que le courage des hommes fait l'honneur de ceux qui les entourent.
Je ne savais pas que ça se passerait comme ça, on ne m'avait rien dit, ni prévenue. Est-ce que ça arrive à tout ceux qui sont comme moi ? Est-ce que, le moment des adieux venu, c'est normal que mon coeur palpite à se point à m'en faire vraiment mal ? Et ces mots que je ne veux ni prononcer ni écrire, pourquoi faut-il qu'ils soient si sinistre et si durs, si blessants, meurtriers ? Mon coeur ne le supportera pas.
Je voudrais croire que le temps des adieux n'est pas encore venu. Mais se serait nier l'évidence. Ce qui veux dire qu'il faut que je passe par là, que je souffre. je ne sais pas si je vais le surmonter un jour. Je voudrais vraiment être courage pour ça mais le coeur n'y est pas, et faire quelque chose sans y mettre du coeur, c'est ne rien faire. Alors je pourrais prier le petit Jésus... Nan, je plaisante ! Là se serait royalement me foutre de la gueule du monde après avoir écrit ce que j'ai écrit et pour penser ce que je pense. Je n'ai plus qu'à espérer que mon coeur supporte le choc... A moins que quelqu'un est une solution miracle, ce dont je doute fort...
Les faiblesses du genre humain font la noblesse des diablotins, autant que le courage des hommes fait l'honneur de ceux qui les entourent.